Actu
29/02/2024

Dossier Maladies rares : priorité aux innovations thérapeutiques

En France, trois millions de personnes sont atteintes d’une maladie rare. Toutefois, seule une personne sur deux dispose d’un diagnostic précis qui nécessite parfois cinq ans pour être établi. Réduire l‘errance diagnostique et développer de nouvelles thérapies forment ainsi les principaux enjeux pour une meilleure prise en charge de ces patients. À l’occasion de la Journée mondiale des maladies rares, l’ANR consacre une série d’articles à la présentation des plans maladies rares et de deux projets soutenus dans le cadre du plan d’action de l’ANR et de France 2030.

Retrouvez notre entretien avec la Pr Véronique Paquis-Flucklinger, cheffe du service de Génétique Médicale à l’hôpital Archet (CHU de Nice), et chargée de mission au Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche (MESR) pour la stratégie sur les maladies rares, sur les ambitions et les grandes orientations du 4e plan national maladies rares (PNMR4) ; à découvrir également un focus sur le projet ANR IMprove, coordonné par Laurent Villard, directeur de recherche Inserm au laboratoire Marseille Medical Genetics, qui s’intéresse à la cause génétique des épilepsies néonatales d’origine génétique, particulièrement rares et difficiles à détecter chez le nourrisson. Enfin, un éclairage sur le projet RaReTIA, lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt « Accélérer la recherche et l’innovation sur les maladies rares grâce aux bases de données scientifiques » et coordonné par Hélène Dollfus, directrice du Laboratoire de génétique médicale de l’université de Strasbourg, qui vise à transformer le diagnostic des rétinopathies pigmentaires - cause majeure de malvoyance - grâce l’IA et aux données de santé.

Epilepsies néonatales : la piste génétique

Maladies rares : l'ère des traitements ?

RaReTIA : Données de santé et IA

Maladies rares - Cahier ANR

Mis à jour le 29 février 2024
Inscrivez-vous à notre newsletter
pour recevoir nos actualités
S'inscrire à notre newsletter