VBD - Villes et Bâtiments Durables

Modèles Appliqués à l'Energie et à la Ventilation Interopérables et Adaptables – MAEVIA

MAEVIA

Modèles Appliqués à l’Energie et à la Ventilation Interopérables et Adaptables<br />

Vers des modèles plus réalistes

Le projet propose d’aborder la question de la prise en compte de la dégradation de la performance théorique liée à l’usage et à la mise en œuvre des composants lors d’une simulation appliquée à la qualité de l’air intérieure.<br />Contrairement à la thermique où il n’est qu’important, le facteur humain, dans ce qu’il peut avoir comme impact sur la conception, la réalisation ou sur l’utilisation du bâtiment est crucial pour évaluer la qualité d’air intérieur. L’impact d’une erreur de calcul sur la quantité de polluant, et donc sur la santé humaine n’est pas du même niveau qu’une erreur sur la facture d’énergie. Dans ce cadre, il est essentiel de se donner les moyens de simuler le bâtiment dans ses conditions réelles d’utilisation, et non plus idéales.

Il existe peu d’outils traitant de l’aéraulique sous l’angle qualité de l’air intérieur. Certes les calculs sont réalisables par des utilisateurs experts pour des études à très forte valeur ajoutée, avec des outils de CFD (Computational Fluid Dynamics), mais la simulation énergétique a prouvé la robustesse de simplifications de modèles, permettant ainsi de mettre à disposition des bureaux d’étude des outils simples et de qualité. Ce schéma doit être étudié dans un objectif de la simulation de la QAI.

L’objectif est de travailler à un outil applicable à la QAI pouvant se coupler à un outil thermique. Celui-ci doit pouvoir être versatile pour s’adapter aux réalités de terrain et pouvoir valoriser l’innovation tout en conservant une facilité d’utilisation adaptée à des utilisateurs non experts. Cette apparente contradiction devra être résolue par une nouvelle manière de développer visant la réduction des contraintes informatiques, algorithmiques, architecturales des modèles afin de privilégier la représentation des phénomènes physiques et de leurs interactions.

L’ambition est de disposer de gammes d’outils prédictifs au plus proche du fonctionnement dans les conditions réelles afin de permettre la mise en place de méthodes de garantie à la fois les performances intrinsèques des bâtiments et le confort et la santé des occupants.

Méthodes de prise en compte des incertitudes
Méthodes de prise en compte des occupants
Méthodes de prise en compte des défauts de mise en œuvre
Méthodes d’interopérabilité logiciel

Le projet propose d’aborder la question de la prise en compte de la dégradation de la performance théorique liée à l’usage et à la mise en œuvre des composants lors d’une simulation appliquée à la qualité de l’air intérieure.
Contrairement à la thermique où il n’est qu’important, le facteur humain, dans ce qu’il peut avoir comme impact sur la conception, la réalisation ou sur l’utilisation du bâtiment est crucial pour évaluer la qualité d’air intérieur. L’impact d’une erreur de calcul sur la quantité de polluant, et donc sur la santé humaine n’est pas du même niveau qu’une erreur sur la facture d’énergie. Dans ce cadre, il est essentiel de se donner les moyens de simuler le bâtiment dans ses conditions réelles d’utilisation, et non plus idéales.
Il existe peu d’outils traitant de l’aéraulique sous l’angle qualité de l’air intérieur. Certes les calculs sont réalisables par des utilisateurs expert pour des études à très forte valeur ajoutée, avec des outils de CFD (Computational Fluid Dynamics), mais la simulation énergétique a prouvé la robustesse de simplifications de modèles, permettant ainsi de mettre à disposition des bureaux d’étude des outils simples et de qualité. Ce schéma doit être étudié dans un objectif de la simulation de la QAI.
L’objectif est de travailler à un outil applicable à la QAI pouvant se coupler à un outil thermique. Celui-ci doit pouvoir être versatile pour s’adapter aux réalités terrain et pouvoir valoriser l’innovation tout en conservant un facilité d’utilisation adaptée à des utilisateurs non experts. Cette apparente contradiction devra être résolue par une nouvelle manière de développer visant la réduction des contraintes informatiques, algorithmiques, architecturales des modèles afin de privilégier la représentation des phénomènes physiques et de leurs interactions.

Coordination du projet

CORRALES Patrick (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) – patrick.CORRALES@cstb.fr

L'auteur de ce résumé est le coordinateur du projet, qui est responsable du contenu de ce résumé. L'ANR décline par conséquent toute responsabilité quant à son contenu.

Partenaire

EDF Electricité de France
CNRS G2ELAB & G-SCOP
LaSIE Laboratoire des Sciences de l'Ingénieur pour l'Environnement
I2M Institut de Mécanique et d'Ingénierie de Bordeaux
EDF R&D SITE LES RENARDIERES
CSTB Centre Scientifique et Technique du Bâtiment

Aide de l'ANR 898 877 euros
Début et durée du projet scientifique : janvier 2013 - 36 Mois

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